Le capitaine Ibrahim TRAORE a décidé, à son arrivée au pouvoir de se séparer de la France sur le plan diplomatique et sécuritaire pour plusieurs raisons. Entre autres, des accords de coopérations truqués, le non-respect des intérêts du peuple burkinabè, le pillage, la lutte déguisée contre le terroriste etc…
En gros, c’est la politique française au Burkina Faso ou en Afrique qui est contestée. Les hommes d’affaires français, tant qu’ils respectent les règles établies, et peuvent contribuer au développement du pays d’accueil, ils sont les bienvenues. Après tout, ils bénéficient de la sécurité, des débouchés pour leurs produits.
Le Burkina Faso peut parfaitement mener la guerre sans la contribution de la compagnie française Castel. D’ailleurs, elle n’est pas la seule à honorer ses obligations sociétales envers le Burkina Faso. Bien d’autres entreprises le font.
Donc que les chercheurs de poux sur les têtes rasées sachent que leurs multiples tentatives de révolter et de décourager les burkinabè avec des sujets qui n’ont ni queue ni tête, sont peine perdue. Leurs articles sont déjà dans les poubelles.
De plus, la période choisie pour faire cette publication est très suspecte. N’oublions pas que la date du 31 s’approche, et que les corrompus tentent de semer le trouble en ce jour, où les dignes filles et fils du Faso pleurent leurs martyrs.
C’est une manière pour ces Médias d’ajouter de l’huile sur le feu pour une consumation plus intense au sein de la population burkinabè. Mais ils se trompent lourdement. Le peuple d’aujourd’hui, celui de l’ère Ibrahim TRAORE n’est pas dupe.
Edith Bankou
