La stratégie de lutte contre le terrorisme, instaurée au Burkina Faso par les autorités de la transition avec à leur tête, le capitaine Ibrahim TRAORE, est en train d’affaiblir l’ennemi lentement mais surement. Outre les nombreux terroristes qui sont éliminés, les groupes terroristes sont dépouillés progressivement de leur logistique.
Les autorités du pays des hommes intègres ont coupé l’herbe sous le pied de ces criminels, en verrouillant toutes leurs voies d’approvisionnement en matériels de guerre comme en vivres. L’on peut noter comme décisions allant dans ce sens, le refus des autorités de négocier avec les terroristes qui profitaient des sommes d’argent reçus des autorités pour renforcer leur capacité logistique.
De plus, la montée en puissance de l’armée burkinabè, surtout avec la flotte aérienne ne permet plus à ces criminels de réussir leurs attaques contre les positions des combattants, pouvant leur permettre de s’approprier le matériel de guerre appartenant aux militaires burkinabè, c’est plutôt le contraire aujourd’hui.
A chaque fois que des criminels sont neutralisés, leur matériel est détruit soit saisi. Plusieurs de leurs bases logistiques sont aussi passées au feu des missiles des vecteurs aériens. Autre chose plus importante, leurs amis de la ville notamment n’ont plus de moyen de leur venir en aide.
Aussi, qu’il nous souvienne que des informations sûres avaient révélé certaines sources d’approvisionnement de ces malfaiteurs de la brousse. Les impérialistes qui veulent priver ce pays de la paix, comme ils savent bien le dire, ‘’LA PAIX ON PEUT L’EVITER’’, afin de continuer à l’exploiter, fournissaient des armes à leurs hommes de mains que sont des terroristes.
La surveillance stricte instaurée par les autorités du Burkina Faso à travers leur puissant service de renseignement ne donne plus d’occasions à ces ennemis de poser certains actes. Les terroristes sont désormais dépouillés de leurs matériels importants et sont désorientés. Ce qui veut dire que leur déclin total est très proche pour le bonheur des citoyens burkinabè.
Malso Tarda
