Après le massacre dont ont été victimes les femmes et les enfants du village de Zaonga, au Centre-Nord du Burkina Faso, des doigts accusateurs sont pointés vers les forces de défense et de sécurité, ainsi que les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP).
Ces personnes qui constituent aujourd’hui une force combattante contre le terrorisme, sont issues de la population de diverses localités. Ils ont des familles (Femmes et Enfants ; Frères et Sœurs ; parents) parmi la population civile burkinabè et ne sont au front que pour les protéger, défendre leurs intérêts et ceux du pays en général.
Il est donc inacceptable de porter des accusations sans preuves sur ces personnes qui se dévouent corps et âme au quotidien, pour ramener la sécurité et la stabilité dans leur pays. Les étrangers à ce pays feront mieux de s’occuper de leurs oignons, que de vouloir monter les burkinabè les uns contre les autres.
Selon les sources concordantes, cet acte affreux et ignoble est l’œuvre des terroristes, qui ont voulu prendre leur revanche sur ces populations civiles. Selon nos sources sécuritaires, la tuerie est intervenue après les opérations de lutte menées dans la zone, et qui ont infligées de lourdes pertes aux assaillants.
Ces malfaiteurs estiment aussi que sont ces populations qui ont laissé leurs frères, sœurs et enfants, aller se battre contre eux. Il s’agit ici donc d’une vengeance des terroristes qui ont su tromper la vigilance des forces de défenses.
Beda Bamogo