La préoccupation majeure actuelle du Burkina Faso, avec à sa tête le capitaine Ibrahim TRAORE, est de pouvoir récupérer en totalité, son territoire dont une partie est encore sous la domination des groupes terroristes. Des efforts sont faits et se poursuivent en ce sens, avec le leadership du président de la transition.
Mais des individus malhonnêtes et malveillants, tentent par tout moyen de saper ces efforts et surtout les résultats engrangés. Outre des puissances impérialistes, des hommes politiques, des militaires malhonnêtes, ce sont certains syndicalistes immoraux qui se jettent dans la danse des destructeurs du Burkina Faso.
C’est le cas de Moussa Diallo qui se prend pour un bon samaritain, un défenseur des droits humains, un secouriste, au lieu de se concentrer sur la mission qui lui a été assignée au sein du regroupement syndical CGT-B comme secrétaire général.
Il se permet, à cette heure où les esprits des burkinabè éclairés sont focalisés sur la lutte anti djihadiste, d’envisager un trouble à l’ordre publique à travers un supposé meeting d’interpellation. Il parle de la vie chère oubliant qu’avant l’arrivée du MPSR au pouvoir, la situation était pire.
Malgré les défis sécuritaires, les autorités font tout afin de garder la situation socioéconomique abordable et vivable pour les citoyens burkinabè. A travers des initiatives, les autorités cherchent à assurer la sécurité alimentaire et l’autosuffisance afin de permettre aux burkinabè de vivre dignement.
Selon les hommes de bon sens, ce n’est surtout pas le moment d’organiser des activités qui ne contribuent en rien à l’effort de guerre ni à la cohésion sociale, mais constituent plutôt une entrave, un obstacle à la détermination et à l’engagement du peuple pour la paix et la stabilité dans le pays.
Justine Abadé