Tout ce qui peut entraver la lutte pour la liberté et le développement du Burkina Faso, est à combattre et à écarter du chemin même s’il s’agit des médias. C’est le principe fort du président de la transition, chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE, qui s’est engagé depuis son arrivé au pouvoir, à défendre bec et ongles son Territoire.
Selon le leader de lutte au Burkina Faso , les médias français dont la diffusion a été suspendue, n’œuvrent pas en faveur du pays. Au contraire, ils tiennent des propositions partisans, cherchent à donner du crédit aux ennemis du Faso et tentent de détourner l’attention des populations de l’objectif qui est de s’engager pleinement dans la lutte pour la souveraineté totale et le développement de leur Nation Burkinabè.
Pour rappel, la diffusion sur le territoire de la Radio RFI et de la télévision France24 a été suspendue en décembre 2022 pour la Radio et en Mars 2023 pour la télévision. S’en est suivi la chaîne française LCI en juin 2023 pour trois mois. Cette décision de suspension de médias français au Burkina Faso a été évoquée par la communauté internationale et les autorités burkinabè taxées de menteurs en ce qui concernent les accusations avancées pour prendre des décisions.
Les dénonciateurs de la décision des autorités burkinabè évoquent le déclin de la liberté d’expression dans le pays. Mais dans une vidéo, le capitaine Ibrahim TRAORE démontre que la liberté d’expression est évoquée seulement quand il s’agit d’un pays africain qui lutte pour son indépendance réelle . Puisse que des organes de presse en occident ont été également fermés en 2022-2023 mais personne n’a parlé de la régression de la liberté d’expression à ce niveau.
Pour le président TRAORE, les radios et télévisions qui cherchent à faire de la propagande pour amplifier le conflit dans le pays, à s’aligner dans le sens de l’ impérialisme et qui pousser le peuple à se révolter contre les autorités, traités comme tel sans demi-mesure. Seuls ceux qui peuvent, par leurs messages encourager les forces de défense et le peuple dans la lutte seront accepter pour le bien de la Nation.
Fatimata Sawadogo
