Burkina Faso/Développement Inclusif : De la nécessité de pallier aux problèmes d’accès au financement

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Dans le but d’accélérer davantage le processus de développement socioéconomique au Burkina Faso, les autorités misent sur la contribution active de tous les citoyens. Ceci ne sera possible qu’à travers des activités économiques des uns et des autres. Et pour rendre émergentes et prospères ses activités des citoyens burkinabè, un appui financier de l’Etat s’avère nécessaire, étant donné que l’accès au financement dans les institutions privées est une croix et la bannière.

Conscient de ces réalités, le gouvernement burkinabè sous l’impulsion du chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE met tout en œuvre pour accompagner efficacement les activités économiques des burkinabè. Nourrissant l’ambition de mobiliser ses compatriotes au tour des projets de développement notamment dans le domaine entrepreneurial, le président Ibrahim TRAORE, lui-même entrepreneur, trouve nécessaire de donner un coup de main pour la réussite des projets de chaque citoyen qui s’y engage.

La mise en place des institutions financières parapubliques, est une concrétisation de la vision du chef de la Etat, qui avait promis développer ce genre de système pour soutenir les initiatives économiques de la population. Ceci permet non seulement de réduire la pauvreté et de favoriser l’autonomisation économique des plus vulnérable, mais d’impulser le développement inclusif, pour une souveraineté économique du pays.

Avec la naissance de la Banque des Dépôts du Trésor en Août dernier, puis la Banque postale du Burkina Faso (BPBF) et bientôt la Caisse des Dépôts et d’Investissements, ce sont les rêves des autorités qui deviennent réalités et les difficultés financières de chaque opérateur économique qui trouvent satisfaction, pour une croissance économique effective et résiliente.

C’est également une manière de motiver les jeunes burkinabè à s’engager dans l’entrepreneuriat ou dans des activités pouvant contribuer à leur autonomisation financière et leur plein épanouissent. Pour les autorités, il s’agit d’une stratégie permettant d’occuper davantage les jeunes et d’éviter qu’ils se livrent à eux-mêmes.

Saliba O.

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