Après les assises nationales des 14 et 15 Octobre 2022 qui ont permis d’élaborer la charte de la transition en cours, de nouvelles assises s’annoncent à grand pas. Ce nouveau cadre de concertation entre les filles et fils du Faso est prévu pour démarrer ce samedi 25 Mai à Ouagadougou, la capitale burkinabè.
Ce sera à la salle des banquets de ouaga 2000. Pendant deux (02) jours, les forces vives de la grande Nation burkinabè vont se plancher sur le sort de la transition du Capitaine Ibrahim TRAORE, au terme de la durée transitoire accordée dans la charte de 2022. Pour l’heure, tout porte à croire que cette transition qui s’est atteler à donner une autre image du pays des hommes intègres, à l’extérieur comme à l’intérieur, aura de nouvelles charges.
Nombreux sont ces citoyens du Faso qui désirent ardemment voir les autorités de la transition poursuivre leurs œuvres, dans les dix (10) prochaines années, pour la souveraineté totale et l’émergence du pays. Ceci, en raison des résultats probants engrangés en quelques mois, sur les plans sécuritaire et socio-économique. Ce sont des compatriotes qui maîtrisent déjà la situation actuelle et les défis auxquels le pays est confronté.
Il faut noter aussi que cette équipe de la transition a été un modèle dans la bonne gouvernance, à travers la gestion adéquate des ressources du pays et sa détermination à défendre les intérêts des burkinabè. Cette transition avec à sa tête le capitaine Ibrahim TRAORE a été celle qui a tenu tête aux impérialistes, permettant ainsi au pays de retrouver sa dignité.
Aujourd’hui, le Burkina Faso se démarque des autres pays de l’Afrique et est constamment sous les projecteurs du monde entier, grâce à l’audace, à la détermination, à l’engagement et au patriotisme de ces autorités de transition. Il importe donc pour les burkinabè de se mobiliser massivement les 25 et 26 Mai, pour dire oui à une prolongation de cette transition qui se présente comme une solution aux problèmes du pays des hommes intègres.
Justine Balmou
