Le Burkina Faso d’aujourd’hui n’est pas celui d’hier sur tous les plans, grâce au dynamisme et à la vision éclairée des autorités de la transition. Leur stratégie de concilier la lutte antiterroriste au développement socioéconomique est en train de sortir progressivement le pays du gouffre dans lequel des hommes politiques et leurs alliés l’avaient mis.
Que ce soit sur le plan sécuritaire ou en matière de développement socioéconomique des initiatives audacieuses et ambitieuses ont été prises. A ce jour, les résultats déjà engrangés depuis la mise en œuvre du plan d’action pour la stabilisation et le développement par la transition, mettent en confiance les investisseurs qui désirent ardemment investir dans ce pays des hommes intègres.
A cela vient s’ajouter la détermination, le patriotisme, l’intégrité et l’art de la bonne gestion dont font preuve les plus hautes autorités du pays. En plus, c’est un pays où la gouvernance a changé de visage, prenant celui de l’intérêt général et des aspirations profondes du peuple souverain. Les résultats obtenus par le Burkina Faso tout récemment sur le marché financier de l’UMOA témoignent de la crédibilité dont jouit le pays aux yeux des investisseurs à travers le monde.
Selon les informations, suite à la demande d’un crédit de 120 milliards de francs CFA sur le marché financier de l’UMOA, pour la réalisation de projets de développement, le Faso en a obtenu 130 milliards francs CFA, soit un taux de souscription de 108 % des investisseurs.
D’après les détails sur ces investisseurs, les banques arrivent au premier rang des souscriptions avec 44 % du volume, suivies des organismes de retraites/pensions et du secteur des assurances avec respectivement 23 % et 14 %. Avec ce financement le pays pourra réaliser ses projets prioritaires, favorisant ainsi un développement effectif du pays et l’épanouissement des citoyens.
Malda Garbou
