Burkina Faso/Transition : L’obsession malsaine des Médias français pour le Capitaine TRAORE et son Gouvernement

MONDE POLITIQUE

Le capitaine Ibrahim TRAORE, président de la transition, chef d’Etat et les membres de son gouvernement, par leur intégrité et leurs actes patriotiques, traumatisent au quotidien les ennemis du Burkina Faso. C’est le cas de ces ennemis obsédés, qui se cachent derrière des articles diffamatoires et calomnieux.

Le président burkinabè et son gouvernement font constamment objet de critiques fallacieuses, d’attaques injustes de la part de ces Médias qui n’ont plus d’autres choses à faire que de passer leur temps à colporter de fausses informations dans le but de porter atteinte à la réputation de ceux qui luttent pour leur indépendance réelle.

Leur mission de diviser les burkinabè, de semer le désordre afin de freiner l’élan de la transition pour la reconquête et la souveraineté, n’étant pas encore accomplie, ils continuent d’inventer d’autres sujets de distraction, avec espoir de parvenir à leur fin. Le dernier article de RFI sur le président TRAORE, intitulé « Burkina Faso : La Galaxie de Traoré » s’inscrit dans ce sens.

Selon cet article diffamatoire et manipulateur, le capitaine TRAORE s’est entouré uniquement de ses proches parents et de ses amis au pouvoir. Ils ont même cité des noms à qui ils ont attribué des titres de cousin, d’oncle et machin. Même si c’était le cas, pourquoi parler seulement du Capitaine Ibrahim TRAORE et des présidents de transition, alors que c’est le propre de la plupart des présidents en Afrique ?

Pourquoi ce même article n’a pas été rédigé, quand le président ivoirien, Alassane Dramane Ouattara s’est entouré de ses frères, de ses cousins et de ses amis ? En politique comme à la guerre, il faut s’entourer des personnes loyales, en qui on a confiance. Ces personnes qui partagent la même vision et qui sont prêtes à se sacrifier pour la cause commune.

D’ailleurs de quoi ils se mêlent ces gens ? pourquoi avaler le médicament pour le mal d’autrui ? Les burkinabè se plaignent-ils de quelque chose ? Il s’agit bien d’une obsession et du mépris pour la transition au Burkina Faso.

Amidou T.

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