La lutte légitime, patriotique et panafricain qui a démarrée en 2023 contre l’impérialisme et le néocolonialisme au Burkina Faso, comme dans le sahel, doit se poursuivre et s’intensifier en 2024. C’est le désir le plus cher du capitaine Ibrahim TRAORE pour son pays, pour la zone sahélienne et pour l’Afrique en général.
Il y a un an, après l’arrivée du MPSR du Capitaine Ibrahim TRAORE au pouvoir, le Burkina Faso, outre la lutte antiterroriste, s’est engagé dans la lutte pour un Burkina Faso libre et souverain dans tous les domaines. La transition soutenue par le peuple conscient, s’est farouchement opposé à l’impérialisme, à l’esclavagisme déguisé et au néocolonialisme sous lesquels le pays était depuis des années.
Le capitaine TRAORE désire que cette bataille aussi continue voire s’intensifie en 2024 pour l’atteinte des résultats escomptés. Dans son discours de vœux pour le nouvel an, il a affirmé que je cite, « des décisions ont été prises en 2023, visant à briser les premières chaînes de l’esclavage, de l’impérialisme, du néocolonialisme qui empêchent le peuple de connaitre le bonheur ».
Sur ce sujet, il convient de rappeler que les autorités de transition ont fait beaucoup d’efforts afin d’éloigner du Faso et de ses citoyens ceux-là qui les avaient réduits en esclavage. Cette lutte doit continuer afin de couper complètement le dur cordon qui lie le pays des hommes intègres aux impérialistes.
Selon le président TRAORE, l’impérialisme est toujours en activité que ce soit de l’intérieur ou de l’extérieur ; puisque dit-on souvent, l’ennemi n’a pas encore rangé sa hache de guerre. Raison pour laquelle il appelle le peuple burkinabè et celui de tout le sahel, à l’union, à la solidarité, bref au respect des valeurs qu’enseigne la culture africaine.
Il est convaincu que l’Alliance des Etats du Sahel (AES) est un moyen incontournable, pour obtenir la liberté et la souveraineté qu’aspire le peuple du sahel et d’Afrique.
Amidou Buhari