Pendant que la guerre contre le terrorisme continue au Burkina Faso, le président de la transition, le capitaine Ibrahim TRAORE pense déjà à l’après-guerre. Concernant particulièrement les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), le chef de l’Etat se préoccupe de leur avenir, après la victoire finale et définitive contre les criminels.
Lors de sa dernière visite au centre de formation des VDP il y a deux jours, le président de la transition a félicité, encouragé et instruit ces valeureux et courageux citoyens burkinabè, qui ont décidé de s’engager et de se donner corps et âme, à la lutte qui va libérer leur chère Patrie.
Non seulement ça, il a aussi abordé la question d’après-guerre qui consistera pour les VDP à intégrer l’armée pour certains, à rentrer dans la fonction publique pour d’autres, à entreprendre ou encore à apprendre un métier rentable. Que ce soit dans l’un ou l’autre des domaines, le capitaine TRAORE et son gouvernement sont prêts à les accompagner.
Il s’est clairement exprimé en ces termes, je cite, « s’il y a ici des VDP qui, à la fin de la guerre veulent être des soudeurs, des agriculteurs, des éleveurs, nous allons vous accompagner pour ça » ; « ceux qui ont pour ambition de rejoindre l’armée, nous allons vous accompagner, ceux qui désir aller dans la fonction publique, nous allons vous accompagner pour que vous puissiez y être ».
Ce message a été suivie d’encouragement et d’incitation à combattre avec courage, de l’audace et d’intelligence. Il les a appelés à ne pas se laisser envahir par la paresse ni le découragement. Mais être animé toujours par l’esprit patriotique et à lutte jusqu’au bout pour préserver leur honneur et l’intégrité de leur patrie.
Alandou Garba
