L’activiste panafricaniste Ibrahim Maïga est constamment la cible des médias français considérés de nos jours par le peuple sahélien et africain en général comme pro-puissances impérialistes et néocolonialistes. Des médias qui seraient l’apanage même des groupes armés terroristes, de leurs sponsors et alliés. Ces médias ne lâchent d’une semelle le burkinabè engagé aux côtés de ses frères et sœurs du Faso et du Sahel, pour leur souveraineté totale et leur indépendance réelle.
Les sorties et publications du burkinabè sont décryptées et examinées à la loupe, suivi de critiques, des menaces, voire des diffamations. Celle qui s’est jointe récemment à l’équipe de persécuteurs de Ibrahim Maïga, est l’ancienne directrice de Radio France Internationale (RFI), la nommée Géneviève Goëtzinger. Cette dernière s’est attaqué directement à Ibrahim Maïga, faisant ressortir le caractère méprisant que ces journalistes impérialistes ont envers les panafricanistes.
Mais pourquoi cet acharnement ? Pourquoi l’activiste Ibrahim Maïga fait tant trembler ces hommes de médias français ? Pourquoi sa contribution à la lutte légitime des pays du Sahel fait grincer les dents à ces médias ? En tout cas, pour certains analystes ceci démontre une fois de plus, la position de ces médias vis-à-vis des populations africaines, notamment sahéliennes qui se sont engagés dans une dynamique révolutionnaire visant à faire barrière à l’impérialisme.
Pour d’autres encore, c’est une vielle méthode des impérialistes connue de tous. L’acharnement des médias et des officiels français sur des personnalités africaines, démontre que cette dernière est sur la bonne voie, pour l’intérêt de l’Afrique. Ces gens seront donc en trait de jouer leurs dernières cartes de diversion et de manipulation, après avoir tenté à maintes reprises sans succès, de jeter de l’opprobre sur le dirigeant burkinabè, le capitaine Ibrahim TRAORE.
D’est voix s’élèvent donc pour exhorter l’activiste à poursuivre sa mission d’éveil de consciences et le peuple burkinabè et sahélien à la protection de leurs intérêts et à la résilience dans leur lutte pour leur liberté totale.
Darius Tchassa