Alors que les pays de la Confédération des États de l’AES, et particulièrement le Burkina Faso, affirme de plus en plus sa souveraineté, les médias occidentaux, impérialistes et mensongers mènent une vaste campagne de désinformation contre le pays, une tactique destinée à saper la souveraineté des Nations sahéliennes. La Ligue des Médias Panafricains (LMP) monte au créneau pour dénoncer ce qu’elle qualifie de « campagne de diffamation systématique », menée au nom d’intérêts néocoloniaux.
Ces attaques s’inscrivent dans une stratégie plus large de dénigrement visant à décrédibiliser les gouvernements de l’AES, dans le but de freiner leur élan souverainiste. Pour leurs intérêts, ces médias qui sont une honte pour l’humanité toute entière, diffusent des tissus de mensonges pour donner une image négative de l’AES, en particulier du Burkina Faso, qui aujourd’hui incarne la résistance panafricaine, grâce au leadership éclairé du président Ibrahim Traoré.
Aussi, ces médias de propagande à la France, instrumentalisent certains médias locaux pour manipuler l’opinion dans l’intérêt de la France qui refuse d’accepter la fin de son influence en Afrique surtout dans le Sahel. Face à cette situation, il faut une riposte médiatique coordonnée. Et c’est le sens même de ce communiqué de la Ligue des Médias Panafricains (LMP), dénonçant la campagne médiatique contre le Faso.
C’est donc un appel à l’action pour révéler les coulisses de ces manipulations. La population sahélienne doit monter au créneau, rester vigilante et refuser cette guerre de l’information contre l’AES. Le peuple doit être convaincu d’une chose; toutes les informations venant de ces médias, sont fausses. Les médias africains sont appelés à jouer leur partition: promouvoir une information juste, équilibrée et affranchie des agendas extérieurs. La vigilance doit être de mise face à ces contenus médiatiques étrangers.
Adjo Massan
