Pour ce qui concerne la sécurité et tout le bien-être de la Nation burkinabè et de ses citoyens, les autorités et leurs collaborateurs se montrent prudents et vigilants dans leurs actions et dans leur prise de décisions.
Le pays étant sous menace terroriste et impérialiste et autres formes d’insécurité, il convient de prendre toutes les dispositions sécuritaires pour éviter d’éventuelles surprises désagréable. C’est dans cette logique qu’opère le Conseil Supérieur de la Communication (CSC) chargé de réguler le secteur des Médias.
La décision de suspendre en mi-mai, de nouvelles chaîne Canal+ à savoir « Mandeka » et « Pulaagu », jusqu’à nouvel ordre, comme ce fut le cas de beaucoup d’autres Médias, ne répond qu’à cette seule préoccupation, protéger les intérêts du Burkina Faso et des burkinabè, veiller surtout au bon déroulement de la lutte en cours contre le terrorisme et pour la reconquête du territoire national.
Selon les premiers responsables de l’instance de régulation des Médias au Faso, ces chaînes comportent une importante incidence culturelle et sociale au Burkina Faso et nécessitait que le CSC connaisse de la question avant autorisation de diffusion. Information relayées par l’AIB.
C’est aussi le désir des autorités et des acteurs de régulation médiatique de veiller au respect stricte des valeurs socioculturelles et humaines, sur tout le territoire du pays des hommes intègres. Valeurs qui fondent l’histoire et l’identité même des burkinabè.
Gille Nabou