Les rapports publics du Conseil Supérieur de la Communication (CSC) pour le compte des années 2022 et 2023 ont été remis au président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE. L’occasion pour les responsables de l’instance de régulation de médias de présenter les avancées enregistrées dans le cadre de leur mission en vue d’une contribution efficace des médias à la construction d’un Burkina Faso libre, souverain et prospère.
Si le bilan des activités présente des résultats satisfaisant, des défis restent tout de même à relever, pour ce qui concerne des médias émergents tels que les réseaux sociaux. La rencontre avec le président Ibrahim TRAORE était également une occasion de présenter les stratégies pouvant permettre de mieux encadrer ces nouveaux médias sur le territoire burkinabè afin d’éviter des impacts négatifs sur le vécu quotidien des citoyens burkinabè.
Selon le président du CSC, « les médias sociaux évoluent vite et nous sommes en train d’imaginer la solution pour anticiper, pour amener nos compatriotes à faire attention à la désinformation qui est aujourd’hui à l’œuvre sur les réseaux sociaux ». D’après lui, cette désinformation peut constituer un facteur limitant pour toutes les actions de développement et surtout pour toutes les actions engagées sur le terrain de la reconquête de notre territoire national.
Selon les informations, la délégation du CSC a bénéficié des conseils et orientations du Chef de l’État, pour mener à bien ses actions pouvant contribuer véritablement au rayonnement du Burkina Faso et à l’apaisement du climat social.
Daniel M.