Après la consolidation des liens au sein de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) avec la création effective de la Confédération AES, les peuples des trois pays membres de l’organisation sahélienne et de leurs dirigeants devront s’attendre à l’intensification de la pression extérieure, qu’elle vienne des terroristes ou de leurs patrons.
Il n’est plus à démontrer que les coups d’Etats révolutionnaires et populaires en Afrique ne plaisent vraiment pas à certaines personnes. L’acharnement sur les autorités des régimes militaires au Burkina Faso, au Mali et eu Niger en témoigne. L’engagement de ces dirigeants au service de leurs peuples, faisant dos aux étrangers a accentué la colère des ennemis.
Ce qui explique la multiplication des plans d’attaques contre eux, depuis que leur position face à l’impérialisme et au néocolonialisme a été connu. Tous les moyens sont donc utilisés, pour faire chuter ces régimes fortement soutenus par les peuples. Après la création officielle de la Confédération AES le samedi 06 Juillet dernier, confirmant la poursuite des actions conjointes face aux divers défis, l’adrénaline des ennemis serait au top.
Les ennemis gardaient encore l’espoir d’un possible échec de ce projet de mutualisation des efforts, pour la sécurité et le développement des pays membres de l’AES. A cette allure, l’ennemi se sent très menacé et va vouloir passer à la vitesse supérieure dans ses actions diaboliques, afin de porter atteinte aux efforts des leaders révolutionnaires.
Selon les analystes, ces ennemis vont accentuer les attaques terroristes comme médiatiques, contre les dirigeants, les forces combattantes et les populations en général. Le plus rassurant est que les Chefs d’Etat ont réaffirmé leur détermination à accélérer la dynamique enclenchée, avec le soutien des peuples de l’AES afin de vaincre l’adversité sous toutes ses formes et amorcer la paix et le développement économique.
Roger Filoum