Le gouvernement de la transition sous le leadership visionnaire du président Ibrahim TRAORE, met des bouchées doubles, pour promouvoir l’industrialisation et la production agricole au Burkina Faso. C’est une ambition fondamentale pour le chef de l’Etat, qui a eu à prendre déjà des initiatives salutaires dans ce sens, à l’instar de l’offensive de production et de transformation agro-sylvo-pastorale.
Pour renforcer davantage cette dynamique, le conseil a décidé le jeudi 19 septembre selon les informations, d’alléger les taxes sur la production de farine de blé, du maïs, du sorgho et bien d’autres céréales produits localement afin de soutenir transformation industrielle de ces produits locaux. Il faut noter que la production et la transformation locale des produits, tiennent à cœur le chef de l’Etat et son gouvernement dans leur vision de garantir une sécurité alimentaire à la population.
Ces autorités burkinabè ont donc jugé nécessaire d’accentuer la lutte dans ce sens, en appuyant conséquemment les actions de production comme celles de la transformation locale. Pour se faire, le gouvernement en conseil des ministres jeudi, présidé par le président Ibrahim TRAORE, a adopté un projet de loi de finances rectificative, afin de prendre en compte les nouvelles initiatives prises entrant dans les domaines précités.
Selon le ministre des finances, cette nouvelle loi de finances rectificative va permettre de renforcer le dispositif de protection sociale du capital humain et d’accompagner l’industrialisation du pays. Le président du Faso et ses collaborateurs sont dans une dynamique de révolution agricole et d’industrialisation au Burkina Faso, afin de booster le développement économique du pays.
Etienne Sanka