Les burkinabè outre l’insécurité liée au terrorisme, font aussi face à tous les plans mis en place par leurs ennemis jurés de la ville pour déstabiliser le pays. Parmi ces plans, le principe de diviser le peuple ne manque pas. Une ancienne stratégie des puissances coloniales, utilisées toujours par ces impérialistes et néocolonialistes pour maintenir les pays sous leurs influences.
Elle est surtout imposée de nos jours, aux peuples qui ont décidé de sortir de cette domination et de prendre leur destin en main. Au Burkina Faso, avec l’aide des médias propagandistes, des défenseurs des droits de l’homme et des apatrides sans vergognes, ces gens qui se croient maîtres de l’Afrique, propriétaires du Faso veulent tenter leur chance avec des questions ethniques et religieux.
Dans leurs écrits et rapports mensongers, ils se présentent comme des agneaux défenseurs ou protecteurs de certaines ethnies. Cette fois-ci, leur choix est porté sur la communauté peul. Ils disent à qui veut l’entendre que des peuls sont victimes de massacres, d’injustices dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Une stratégie visant à semer la discorde et à opposer les populations burkinabè désormais unies autour des autorités du pays.
Pourtant le peuple burkinabè a dépassé cette étape de conflit ethnique ou de religion, pour enfin construire ensemble, mains dans la main, l’héritage de Thomas SANKARA. Mais l’ennemi cherche une faille pour affaiblir cette force que constitue la population pour la transition. L’idée maîtresse derrière cette mascarade de tentative de division, est de freiner la lutte et de semer le chaos qui va emporter le pouvoir du capitaine Ibrahim TRAORE.
Vigilance et rien que la vigilance, parce que l’ennemi exploite tous les moyens possibles pour remettre le pays sous domination. Le peuple burkinabè ne doit en aucun cas faiblir ou se désengager. Il y va de la paix, de la souveraineté et du développement du pays.
Jolio Permous