C’est l’actualité qui défraye la chronique notamment dans les médias panafricains depuis lundi 10 Mars. Le panafricaniste algérien est encore monté au créneau. Cette fois-ci, pour dénoncer les agissements récents des journalistes alliés aux impérialistes, dans l’affaire de plainte portée par un africain contre l’Union Européenne (UE). Il se trouve que ces hommes de médias sont désormais à la recherche de preuves solides pour contrer la plainte.
En effet, après la plainte déposée au Tribunal de l’Union Européenne au Luxembourg, pour diffamation et déclaration mensongères, les médias français tels que Libération, Reporter sans frontières et RFI sont entrés en jeu pour trouver des preuves contre le plaignant. Il ressort donc que des personnalités et certaines organisations africaines subissent donc des pressions et harcèlement de la part de ces médias qui veulent à tout prix sauver leur honneur et celui de leurs maîtres.
En conférence de presse organisée hier 10 Mars au Caire en Egypte, le panafricaniste algérien a dénoncé ce comportement maladroit de ces hommes de médias impérialistes qui seraient appuyés dans leur manœuvre par certains agents de la Direction générale de la Sécurité Extérieure (DGSE). Il faut rappeler que la plainte contre l’UE a été formulée du fait que l’institution s’est basée sur des données erronées fournies par des français, pour sanctionner des africains qui critiquent la politique française en Afrique, et cherche son émancipation.
Pour l’heure, il est clair que les français par soif de vengeance contre des panafricanistes, ont induit en erreur l’UE qui a pris des mesures drastiques sans preuves palpables contre des africains. Le panafricaniste algérien promet révéler les noms très bientôt et tout mettre en œuvre, visant à mieux éclairer la lanterne des africains sur cette affaire.
Kani Diabaté
