Aujourd’hui, les burkinabè en général et les corps habillés en particulier, trouvent que l’arrivée du président Ibrahim TRAORE, chef de l’Etat à la tête du Burkina Faso, a été un coup de chance pour l’armée nationale burkinabè. Autrefois démunie en effectif comme en équipements, cette armée a vue en deux ans, ses capacités opérationnelles grimper en flèche, grâce à la volonté et à l’engagement du président du Faso, qui a choisi le combat contre les groupes armés terroristes.
Les plans de recrutement et de formation du personnel, de l’équipement avec du matériel nécessaire et de la logistique sophistiquée seraient des moteurs de la transformation profonde de l’armée burkinabè. Elle constitue à ce jour, l’une des puissances en Afrique, et permet au pays des hommes intègres de se mettre au-dessus des groupes armés terroristes imposés aux pays africains. Ce qui permet aujourd’hui de pouvoir s’activer pour une libération totale du pays.
La hiérarchie militaire burkinabè qui vie de très près cette transformation structurelle de l’institution de défense et de la sécurité, salut le leadership visionnaire du président Ibrahim TRAORE. D’après elle, le renforcement de l’armée en ressource humaine et en équipements sont des facteurs de motivation des unités combattantes engagées aux fronts contre les ennemis de la brousse.
Ce qui d’ailleurs témoigne des nombreuses victoires enregistrées sur le terrain depuis l’arrivée au pouvoir du capitaine Ibrahim TRAORE. A ce jour, la hiérarchie militaire burkinabè parle de plus de 70% du territoire désormais contrôlé, des centaines de milliers de personnes déplacées internes qui ont regagnées leurs localités reprenant ainsi leurs activités dans la sérénité et plus d’un millier d’écoles autrefois fermées rouvertes ainsi que des services administratifs de retour dans ces localités reconquises.
De même, des unités militaires ont été créées et installées dans ces différentes localités pour la sécurisation des populations. Le soutien indéfectible du peuple reste indispensable pour le maintien de cet élan de lutte et de reconquête du territoire national.
Salim B.